Dans les années 1960, le fils d’un terroriste de l’OAS échoue avec sa mère à Palma de Majorque ; là, ils sont sommés d’attendre. Attendre quoi ? Un signal de ce père redoutable qui demande à son ex de faire office de vigie ? Sa clique de truands qui défilent armés jusqu’aux dents dans le salon familial ? Ou les promesses de ce mystérieux agent du gouvernement qui promet à l’ado la liberté et plus encore s’il collabore et livre son père ?…
Notre héros, lui, a d’autres préoccupations : le surf, les cours, les filles… et ce nouvel ami, Esteban, qui surgit dans sa vie comme une déflagration. Quand Esteban lui propose de l’accompagner à Barcelone, le narrateur se questionne : trahir son paternel et lancer toute la mafia basque à ses trousses en vaut-il vraiment la peine ?
A propos de l'auteur :
QUIVY Vincent : Vincent Quivy est journaliste, historien et écrivain. Après plusieurs essais publiés au Seuil, Ni pleurs ni pardon est son premier roman.
La maison d'édition :
l'Observatoire :
Maison d'édition généraliste, les Éditions de l'Observatoire ont pour ambition de publier des livres témoins de notre société.
Journaliste et historien, l’auteur a voulu mettre au service de la fiction l’histoire de l’OAS et de ses agents qu’il connait parfaitement bien. Son personnage principal est le fils d’un des créateurs de cette organisation criminelle et le narrateur essaie d’en reconstituer la courte existence. Le sujet est très intéressant mais ...la sauce ne prend pas.
Livre intéressant mais j’ai trouvé difficile une lecture ou le protagoniste parle de lui à la deuxième personne du singulier . Livre assez noir pas mal de violence et des vies brisées