La mer Noire dans les grands lacs (2021 )

LULU Annie

Née en Roumanie, dans une société raciste et meurtrie par la dictature, Nili n’a jamais connu son père, un étudiant congolais disparu après sa naissance. Surmontant au fil des ans sa honte d’être une enfant métisse, Nili décide de fuir à Paris où elle entend, un jour, dans la rue, le nom de son père : Makasi. Ce sera le point de départ d’un long voyage vers Kinshasa, à la recherche de ses racines africaines. Elle y rencontrera l’amour, le combat politique, la guerre civile et la mort. Et en gardera un fils, auquel s’adresse cette vibrante histoire d’exil intérieur, de déracinement et de résurrection.

Écrit d’une plume flamboyante, à la fois poétique, intense, épique et musicale, au carrefour des traditions balkaniques et africaines, ce premier roman sur la quête des origines bouleverse par sa profondeur et sa beauté.

  • - Année de publication : 2021
  • - Pages : 228
  • - Éditeur : Editions Julliard
  • - Langue : Français

A propos de l'auteur :

LULU Annie :

Annie Lulu est née à Iasi, en Roumanie, d’un père congolais et d’une mère roumaine. Arrivée très jeune en France, elle étudie la philosophie, puis se consacre pleinement à l’écriture. La mer Noire dans les Grands Lacs est son premier roman.

@Francesco Gattoni

 

La maison d'édition :

Editions Julliard :

"Chez Julliard, nous croyons farouchement à la création littéraire et sommes spécialisés dans la littérature française contemporaine et la découverte de nouveaux talents. Egalement très attachés aux liens entre l’écrit et l’image, nous tentons de les réunir dès que possible."

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  • Paola - Groupe Esprit Livre - Turin
    22 décembre 2021

    S’adressant à l’enfant qu’elle porte dans son ventre, Nili reviens sur les faits qui l’ont amenée, de sa Roumanie natale, au Congo de son père. Une belle histoire – je suppose autobiographique, du moins en partie - un peu gâchée, à mon avis, par le style d’écriture un brin verbeux, les tournures surchargées de certaines phrases les rendant parfois fastidieuses. Sinon, j’ai suivi le parcours de Nili avec intérêt, en apprenant, au passage, des pans de l’histoire congolaise.