Ça raconte Sarah, sa beauté mystérieuse, son nez cassant de doux rapace, ses yeux comme des cailloux, verts, mais non, pas verts, ses yeux d’une couleur insolite, ses yeux de serpent aux paupières tombantes. Ça raconte Sarah la fougue, Sarah la passion, Sarah le soufre, ça raconte le moment précis où l’allumette craque, le moment précis où le bout de bois devient feu, où l’étincelle illumine la nuit, où du néant jaillit la brûlure. Ce moment précis et minuscule, un basculement d’une seconde à peine. Ça raconte Sarah, de symbole : S.
La maison d'édition :
Les Éditions de Minuit ont été fondées durant l'Occupation allemande par Jean Bruller et Pierre de Lescure. Leur premier ouvrage édité est Le Silence de la mer de Vercos (pseudonyme de Bruller) et ils éditeront en tout 25 œuvre de résistants jusqu'à la Libération. La maison d'édition est perçu comme…
La narratrice se laisse porter par ses sentiments, découvre de nouvelles saveurs mais à trop se laisser porter, le risque de perdre pied est grand. Un roman sur l'amour, la violence, la passion et la folie.
S.comme souffre . La passion ça fait mal et cette jeune auteur écrit d’une telle manière qu’elle nous le fait ressentir . Un vrai talent !
Une histoire d’amour lesbienne, tout en excès et folie. Je n’ai pas aimé ce livre, que j’ai trouvé invraisemblable et dont le déroulement final, surtout, est - à mon avis - tout simplement absurde. J’avoue n’y connaitre rien aux rapports lesbiens, donc je suis très mal placée pour m’exprimer, mais je pense que ces deux personnages hystériques ne font pas bonne presse à la cause LGBT ! Ce n'est que mon sentiment, bien entendu