Il romanzo si snoda nell’arco temporale che va dal 1924 alla fine degli anni Settanta. Il protagonista, Lorenzo, a dieci anni, scappa da un orfanotrofio e viene adottato da una famiglia semplice ma dai valori e ideali decisi. Vivrà buona parte della sua vita in fase di “sospensione” condizionato da un intimo senso di inadeguatezza. Affronterà l’esistenza individuando e credendo in un luogo magico, il mare bianco, indicatogli dal padre adottivo. Oltre che uno spazio fisico, il mare bianco è il punto ideale in cui troverà confronto e conforto agli accadimenti del reale, una sorta di mentore. L’amore, verso la sua terra, verso il mare e le persone, saranno il motore del suo percorso di crescita psicologica e sociale.
- - Année de publication : 2016
- - Pages : 238
- - Éditeur : BookTribu
- - Langue : Italien
La maison d'édition :
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Racconto luminoso, positivo, con grandi sentimenti e grandi ideali, personaggi integri. Molta poesia, anche, e descrizioni sensibili di paesaggi, persone, stati d'animo. Ci si rende conto di quanto l'autore ami i suoi personaggi e gli itinerari di vita che descrive. Ho avuto l'impressione pero' che nella seconda parte del romanzo ci fosse meno tensione narrativa e che gli episodi raccontati fossero un po' "spersi".
Il mare Bianco di Carmina Trillino 2016 Ce roman est agréable à lire: il est bien écrit, son style coule sans accrocs. L'écrivain maîtrise sa plume. Mais que dire qui ne soit pas des mièvreries telles que je peux en lire dans quelques recensions? Le titre en italien offre une différence importante pour un lecteur français: il bianco mare: la mer n'est pas féminine, mais bien masculine en italien et nous inscrit dans un registre bien neutre ou bien spécifique qui n'a rien des traditionnels clichés féminins dont le lecteur français doit se défendre. L'histoire se veut une biographie d'un orphelin, enfant abandonné à sa naissance par sa jeune mère de 16 ans violée par un comte. L'orphelinat est une prison de l'horreur, monde clôs coupé du monde. Le jeune héros, à l'âge de dix ans , âge de raison , âge des choix d'existences, s'enfuit de l'enceinte de l'hypocrisie religieuse pour rejoindre le monde des hommes du bord de mer et se plonger dans les eaux profondes et là, un homme lui apprendra à nager: premier geste symbolique en attendant tous les autres qui jalonneront sa vie d'enfant, d'adolescent et d'adulte. Ce parcours sera marqué par l'opposition entre la peur d'être renvoyé dans sa prison initiale et le "tout faire"pour réussir son entrée dans l'âge adulte qu'il s'est lui-même choisi et pour s'y maintenir( choix de société, et choix affectifs). Si ceci ne vous dit rien, je vais éclairer votre lanterne: c'est le mythe d'Oedipe revisité aujourd'hui, Oedipe de la naissance, de l'enfance, de la fuite de la malédiction et surtout Oedipe roi avec sa reine et sa royauté! Si vous ne comprenez pas ce rapprochement, je vous invite fortement à lire mes études sur le mythe d'Oedipe où je prends le contre-pied de Monsieur Freud...( j'espère que vous pourrez beintôt réaccéder à mon site d'écriture , détruit depuis bientôt un an) Le titre nous plonge dans un élément récurrent dans tout le roman: l'eau en tant que surface et l'eau en tant qu'abîme. Cet espace détermine une vision en deux dimmensions complémentaires. La ligne horizontale joue le rôle de miroir avec le ciel et les étoiles.. Les oppositions déterminent des lignes de séparation qui avec la couleur bleue et les reflets vont jusqu'à se confondre et ne plus former qu'un vaste tout comme une matrice qui mature les destins de la terre à la limite de l'eau. C'est dans une harmonie que tout se déroule, c'est la divinité que les héros d'hier et d'aujourd'hui viennent consulter: ils glissent sur ces horizons confondus à la découverte de la sagesse en tout genre. Le blanc, symbole de virginité connote avec le rouge symbole de la justice, de l'égalité de la lutte des classes, l'amour, enfin un monde digne du Paradis: Ce paradis est localisé sur terre et non pas dans une fuite vers un au-delà inexistant... Les fascismes , politiques, religieux en tout genre sont vaincus grace aux combats militants, grace à l'écoute de la mer. Cette utopie cherche à entraîner le lecteur vers un credo affirmant la possibilité à notre porte d'un paradis sur terre... La réception de cette utopie a du mal à passer, parce que, aujourd'hui on n'y croit pus à ces utopies qui ont fait tant de mal au siècle dernier et parce qu'aujourd'hui nous sommes enfermés dans un monde d'idéologies toutes aussi perverses les unes que les autres, des dictatures triomphantes cosmocratiques.... Roman à lire en sortant du "doucereux hypocrite " contemporain. Vous y trouverez une conjonctoin de lignes, de forme et surtout de couleurs qui vous décrira un monde autre que celui des horreurs qui nous embourbent et qui nous enfument!
Il linguaggio di questo romanzo di formazione è altamente poetico e musicale e si avvale di una fraseologia accurata e ricercata. Lo stile è elegante ed efficace nel creare atmosfere spesso trasognate ed irreali che catturano il lettore. Stupende le descrizioni dei luoghi e delle situazioni in cui si muovono i principali personaggi, piene di pathos e di delicatezza che spesso arrivano a commuovere il lettore. Il tema dominante è quello dell’abbandono e delle sofferenze che ne derivano.
Da ascrivere alle capacità narrative della Trillino l’ aver saputo costruire una storia ambiziosa, perché abbraccia un lungo periodo della nostra storia interessato da eventi complessi che hanno fortemente segnato il nostro paese, con la delicatezza ed il fascino di un acquerello dominato da pennellate rosa – ocra come la solarità delle persone e da pennellate blu indaco come quel mare di cui pare di avvertire il profumo ed il rumore della risacca. Forse descrizioni troppo fantastiche ed eccesso di superlativi che a volte danno la sensazione che si viva al di fuori della realtà, che si viva una storia fin troppo bella. Chissà ?